lundi 28 septembre 2015

Prendre le vert à Konpong Cham

Un peu de vrac parce qu' en si peu de temps tellement de, de nouveaux, de beaux, de silence et de bruit, de crabes en laisse, de zébus en boîte de nuit, de Helloooooooooooo et de consonnes khmères mal prononcées, de maisons en bois sur pilotis, de glaise sur la route et sur la peau, de sacré à l'abandon et de précieux en quotidien banal.

Quitter la ville un peu, pas très loin, en trois jours tout oublier déjà, comment s'appellent nos rues, à quelle heure dormir-manger-se réveiller, comment communiquer quand on ne parle pas la même langue mais avec des efforts des deux côtés on réussit, presque.



Est-ce qu'on se passe de mots lorsqu'on ne veut pas décrire mais ressentir et comment dit-on quand on veut transmettre un ressenti? Ressentrir? ce n'est pas très joli, et je préfère lorsque c'est joli. On ne dit pas, on fait, voilà. On essaye. Le mieux après tout, c'est aussi de laisser aux autres la possibilité de le faire à notre place.



 






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